Concert « L’Histoire de La Musique en 66 minutes » par l’ensemble Télémaque et en partenariat avec le Festival de musique de Toulon et sa Région

Jeudi 17 novembre à 14h30, auditorium Robert Casadesus, Conservatoire TPM, site de Toulon

Musique et direction, Raoul Lay ; Mise en scène, Agnès Audiffren ; Comédien, Olivier Pauls ; Chanteuse, Brigitte Peyré ; Flûte, Charlotte Campana ; Hautbois, Blandine Bacqué ; Clarinette, Linda Amrani ; Percussions, Christian Bini ; Piano, Hubert Reynouard ; Violon 1, Yann Le Roux-Sèdes ; Violon 2, Norbert de Jésus Pires ; Alto, Pascale Guérin ; Violoncelle, Jean-Florent Gabriel

Après le succès d’Histoire de la Musique en 66 minutes, retrouvons l’étrange professeur Paulus Olivierus à la recherche du plus grand chef d’œuvre jamais écrit au vingtième siècle !

Présentation :

Dès 7 ans

Comment raconter la musique aux plus jeunes d’entre nous ?

Après le succès d’Histoire de la Musique en 66 minutes, retrouvons l’étrange professeur Paulus Olivierus à la recherche du plus grand chef d’œuvre jamais écrit au vingtième siècle : le voici tiraillé entre la Norvège glacée de Grieg, la Finlande étincelante de Sibelius, la Russie profonde de Prokofiev l’Angleterre solennelle d’Elgar, la Moravie enchantée de Janáček, l’Espagne de braise de De Falla, l’Allemagne étourdissante de Weill, l’Amérique dorée de Gershwin…

Parmi les surprises de ce merveilleux voyage, rencontrée et épousée dans les steppes de l’Asie centrale, l’extravagante cantatrice Galina Galinevskaïa accompagnera Olivierus dans sa quête musicale d’absolu.

Dans le cadre du Festival d’Automne organisé par l’Opéra de Toulon, les élèves ont pu assister lundi 29 novembre 2021 au concert « De Vienne à Munich : Beethoven et le cor classique ».
Présentation de trois œuvres originales pour deux cors et quatuor à cordes, écrites entre 1787 (Wolfgang Amadeus Mozart) et 1803 (Franz Danzi). Le programme s’articule autour du sextuor de Ludwig van Beethoven (1795) qui rappelle le goût des classiques viennois pour les instruments à vents. Cette formation singulière traite désormais les cors comme des personnages principaux et amorce en partie la nouvelle redistribution des rôles de l’instrumentation romantique.